A) Les scientifiques qui se sont penchés sur cette manifestation naturelle
. 77 avant
J-C : Pline
l’ancien est le premier à se pencher sur ce sujet.
. 1756 : Physiologiste allemand Johann Gottlob
Leidenfrost, publie un traité sur les gouttes d’eau. Il a découvert le
phénomène de caléfaction
. 1997 :
Wilhelm Barthlott et
Christoph Neinhuis, deux biologistes ont découverts un matériau superhydrophobe
durable, la feuille de Nelumbo Nocifera.
B) L’évolution de la synthèse de la superhydrophobie
Exemple de synthèse de surface superhydrophobe, ici, ce sont des nanotubes de carbones disposés en tapis dense
. Certaines
surfaces ont des propriétés supplémentaires : autonettoyantes, mouillabilité qui change avec différents paramètres comme l’éclairage ou la
température, mouillabilité qui change avec le pH du substrat
passant ainsi d'un angle de contact de 160° en milieu acide à 0° en milieu
basique.
. La disposition des plots
influençait le modèle de la superhydrophobie. Plus la distance entre les plots
augmente plus les gouttes sont en état Wenzel.
. La taille des plots ne semble pas modifier la superhydrophobie, du moment que la taille et l’espacement entre les plots restent petits devant la taille de la goutte d’eau.
Image de microscopie électronique, représentant pour la
première image la surface de C.Marzolin et pour les deux dernière les surfaces
en forment d’étoiles ou de losanges de D. ÄOner et T. J. McCarthy