A) Création de nouveaux matériaux
En 2005, la société suisse Schoeller invente les textiles nanosphères dit auto nettoyant et gardant cette capacité après plusieurs lavages.
Nappe avec un textile auto nettoyant
De plus, même si on connaît de nombreuses
techniques pour synthétiser une surface superhydrophobe, on ignore qu’elle est
le meilleur procédé, quelle est la meilleure forme à donner aux microstructures pour une application
donnée sans oublier les
contraintes supplémentaires telles que la couleur, la transparence des
matériaux…
Malgré le développement de cette nouvelle
technique, les chercheur font face à de nombreuses difficultés tel que la
transparence des produits puisque le fait de rajouter une texture à la surface
d’un verre pour le rendre hydrophobe, le rend à la fois opaque. De plus lorsque
cette technique devient possible elle reste tout de même chère et parfois
inaccessible.
Jonathan Rothstein à Amherst a établi il y a
quelques années une application prometteuse : le glissement que ces
surfaces engendrent vis-à-vis de l’eau.
Le développement des matériaux
superhydrophobe est important et va être nécessaire pour l’avenir. Ce phénomène
est économique et écologique.
B) Utilisation de ces matériaux
La différence entre un verre classique et un verre auto nettoyant
Chaussures qui a été arrosé avec un spray imprerméabilisant
. Il existe de nombreuses et diverses applications techniques et industrielles liées à l’effet Lotus.
.Il est facile de créer des surfaces superhydrophobes.
. Les matériaux superhydrophobe se développent et commencent à être commercialisés dans de nombreux domaines.
. Cependant, l’effet lotus est un phénomène méconnus ce qui empêche les entreprises de se lancer dans la fabrication de produits superhydrophobes.
. Ces nouvelles technologies à base de nano-matériaux sont en plein essor.